C’est Suite à une information relayée par certains medias de la place, concernant des propos accusant le président du CNOSCG d’avoir reçu une somme d’argent sans associer les membres du FONAJESCG. Le vice président, Salifou Camara a démenti cette information dans une déclaration rendue public ce samedi 21 juillet 2018 au siège du CNOSCG dont nous vous proposons l’intégralité.
Le FONAJESCG fidele a sa mission de défense des intérêts des citoyens et de lutte contre l’injustice sociale, félicite les populations de Conakry pour leur mobilisation contre la hausse du prix du carburant a travers la marche pacifique du 10 juillet 2018.
Le FONAJESCG regrette cependant les divergences entre les différentes composantes du mouvement sociale et réitère sa position d’œuvrer a la bonne poursuite des revendications sociales jusqu’a ‘a satisfaction totale.
Au moment ou l’organisation se consolide après un processus consultatif et de cocon striction qui a permis d’organiser son assemblée générale le 13 décembre 2017 a Conakry, nous constatons que des individus soutenus par des politiciens, divulguent des informations malsaines contre les forces sociales de guinée et le président du CNOSCG.
Prenant à témoin la communauté nationale et les citoyens, le FONAJESCG réuni en assemblée générale ce jour 21 juillet 2018 au siège du CNOSCG :
-condamne ces informations mensongères et l’attitude des individus malintentionné qui sans concertation avec le bureau et sans mandat des membres, se livrent a des agissements éhontés.
-renouvelle son soutien aux forces sociales de guinée et le CNOSCG dans ce combat légitime.
-réaffirme son attachement à l’unité d’action des forces citoyennes et à la société civile pour rehausser le niveau du débat.
-appelle à une remobilisation de toutes les composantes du FONAJESCG autour du président du CNOSCG pour relever les différents défis et déjouer toutes les velléités d’instrumentalisation et de manipulation.
Le FONAJESCG informe les internautes, la presse nationale, les citoyens et citoyennes que les informations et déclarations qui lui sont attribuées n’engagent que les colporteurs. Car aucune réunion statutaire n’a permis de prendre ces décisions.
En fin, il met garde toute personne qui se prononcerait au nom de l’organisation sans mandat du conseil d’administration en collaboration avec la coordination nationale ou de l’assemblée générale.
L’assemblée générale recommande la mise en place d’une enquête diligente pour situer les responsabilités et se réserve le droit de porter plainte contre toute personne qui se rendrait coupable d’un tel agissement.
Salifou Camara, vice-président du FONAJESCG