Ce mercredi 28 août 2019, le directeur général de l’ARPT a procédé à l’ouverture de la 3eme réunion d’évaluation du Free Roaming en Afrique de l’Ouest. La cérémonie a connu la présence des huit (8) pays membres de la CEDEAO.
Elle vise d’une part à faire l’état des lieux de l’application de la résolution n° 2 issue de la 2eme réunion d’évaluation. Et d’autre part, s’accorder sur les modalités de migration du protocole d’Abidjan vers le règlement de la CEDEAO.
Dans son discours, le directeur général de l’autorité de régulation des postes et télécommunications Mingou Cherif, a mis un accent particulier sur les recommandations qui découleront de ces deux jours de rencontre de Conakry.
Selon lui, à chaque rencontre, il y a des résultats qui sortent, il y a des recommandations qui sortent aussi. « Ces résultats ou recommandations nous permettent d’améliorer le Free Roaming parce que nous voyons qu’est ce qui a marché et qu’est ce qui n’a pas marché, et qu’est ce que nous pouvons mettre en œuvre pour pouvoir améliorer le processus », affirme-t-il.
Pour le directeur général, cette réunion est un peu plus particulière aux deux précédentes. Parce que dit-il, «les deux dernières réunions, étaient présents, tous les directeurs et les présidents des autorités de régulation des postes et télécommunications. J’ai demandé à mes homologues que cette réunion soit une réunion technique parce que non seulement la CEDEAO s’est appropriée du projet, et a créé les règlements. Ces règlements devraient normalement être mis en œuvre depuis le 31 décembre 2017, chose qui n’a pas été faite. Donc pour le moment, nous avons 7 pays qui fonctionnent toujours sur le protocole d’Abidjan. Donc on a voulu que cette réunion soit technique », précise-t-il.
Barry