Comme prévu, le ministre en charge des investissements et des partenariats publics privés était devant les hommes de medias ce lundi 3 juin 2019. L’objectif était d’informer l’opinion nationale et internationale sur les acquis, défis et les perspectives de son département.
Devant un parterre de journalistes, le ministre des investissements et des partenariats publics privés, Gabriel Curtis a tout d’abord rappelé que selon le rapport Doing business de la banque mondiale, depuis 2011, la Guinée s’est engagée dans un ambitieux programme de reforme. « La mise en œuvre de plus 80 reforme a permis au pays d’être primée en 2014 parmi les quinze pays les plus réformateurs au monde et d’être classé en 2019 parmi les trois Etats les plus réformateurs d’Afrique de l’Ouest », dit-il.
Selon lui, ces efforts ont eu une incidence positive sur les indices majeurs de perception qui se sont améliorés. « La Guinée a progressé de 27 places depuis 2012 et occupe le 152ème rang sur 190 pays, son meilleur score à date. Le rapport annuel sur la compétitivité de la world Economic forum (Davos) où la Guinée est classée 126 ème sur 137 pays. Elle n’était pas éligible pour être évaluée en 2010. Le forum sur la compétitivité des investissent du groupe de la banque mondiale qui a primé la guinée parmi les cinq pays les plus réformateurs pour l’attraction des IDE en octobre 2017 à Vienne » a-t-il expliqué.
Toujours dans la même logique, Gabriel Curtis a déclaré que de 2010 à 2019 plus de 130 événements promotionnels ont été organisé en guinée, en Europe, en Asie, en Afrique et en Amérique pour encourager les investissements en guinée.
Il a enfin précisé que la Guinée attire et rassure. « Pour preuve, des pays qui ne sont pas des partenaires traditionnels de la guinée s’y intéressé. On peut citer l’Autriche, la Turquie et les pays bas », annonce-t-il.
Camara Aboubacar