À l’ère des amalgames faciles et des accusations sans fondement, certains se drapent dans le manteau du journalisme pour assouvir des desseins personnels : obtenir l’asile, gagner de la visibilité ou manipuler l’opinion.
Fadi Wazni, que je ne connais ni personnellement ni professionnellement, est aujourd’hui la cible d’un acharnement médiatique orchestré par des voix qui se réclament de la vérité mais agissent à l’opposé de l’éthique journalistique.
Ce qui dérange chez Fadi Wazni, ce n’est pas une quelconque proximité supposée avec un pouvoir. Ce qui dérange, c’est son parcours d’entrepreneur prospère, son engagement dans des secteurs stratégiques de la Guinée notamment à travers le consortium SMB-Winning, et sa capacité à transformer la richesse en responsabilité. Là où d’autres exploitent, lui investit. Là où d’autres critiquent, il construit.
Qu’un individu disons-le clairement, un certain “journaliste” en quête de statut politique ou de refuge à l’étranger s’autorise à ternir l’image d’un homme d’affaires sans preuve tangible, en instrumentalisant la liberté de la presse, relève d’une dérive grave.
L’acharnement contre Fadi Wazni n’est pas une recherche de vérité. C’est un sabotage contre la réussite. C’est l’échec qui parle contre l’excellence. Un écho de frustration, déguisé en combat pour les droits.
Les vraies valeurs journalistiques reposent sur la rigueur, la confrontation des sources, le respect du contradictoire. Quand ces principes sont ignorés, le papier devient poison, et la plume une arme lâche.
Aujourd’hui, la Guinée a besoin de ponts, pas de fractures. De bâtisseurs, pas de saboteurs. De vérités solides, pas de récits approximatifs.
Et Fadi Wazni incarne l’un de ces piliers que la République devrait protéger, non crucifier sur l’autel des ambitions personnelles déguisées en révélations.
Face au silence de la raison, la voix de la justice doit s’élever.
Et cette voix dit aujourd’hui : Respect pour les hommes qui osent entreprendre là où tant d’autres se contentent de détruire.
Tribune de La Voix Citoyenne en soutien à la vérité, au mérite et à la dignité.
Billy KEITA, citoyen en méditation mais passif.
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