A travers un décret publié récemment au journal télévisé, le général Mamadi Doumbouya a fixé la date du référendum au 21 septembre 2025.
Une situation qui suscite des inquiétudes au sein de la classe politique guinéenne.
Interrogé par nos confrères de siaminfos.com, le président du parti Alliance pour le Renouveau et le Progrès (ARP), pose des conditions pour que ces élections se tiennent l’une après l’autre en 2025. « La seule condition aujourd’hui pour que toutes les élections puissent se tenir cette année, il faut qu’il ait des élections couplées ».
Selon lui, on ne peut pas organiser quatre élections en un trimestre. « Faire le référendum constitutionnel en septembre et organiser les trois autres élections de façon séparée d’ici la fin de l’année. Mais, il y a une chance de le faire. C’est qu’après avoir organisé le référendum en septembre, si on couple les élections c’est-à-dire, on fait les élections générales, il y a une forte chance que l’on s’en sorte d’ici la fin de cette année. Mais de façon séparée, ça sera impossible ».
Il faut rappeler que le Président Mamadi Doumbouya avait promis lors de son discours de nouvel an d’organiser toutes les élections en 2025.
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