Le pouvoir abusif continue son cours normal en Guinée. Et pour cela des journalistes sont pris pour des cibles à abattre. Pour son récent acte de violence par l’entremise de la police Judiciaire sur le Journaliste Ibrahima Sory Camara, Ramatoulaye Camara, actuelle cheffe de cabinet du Ministère de la Jeunesse devrait se repentir même pas devant les hommes mais devant Dieu, pour avoir occasionné qu’un journaliste honnête partage la même cellule avec des criminels à la DPJ.
Ramatoulaye Camara a d’abord impliqué la police qui a humilié le journaliste dans son quartier devant les voisins, ses enfants et sa femme avant que cette dernière ne se rende compte de la gravité de la faute commise en demandant ses excuses.
Cette attitude de la police guinéenne est salutaire. Interrogeons-nous pourquoi le silence de Ramatoulaye, l’auteure des maux dont le journaliste a été victime innocemment ? Et son mari qui affirmait hier chez nos confrères de mosaiqueguinee : « Mon épouse a été calomniée. Nous avons des captures d’écran, nous avons régulièrement porté plainte au parquet de Kaloum qui a saisi la direction de la police centrale pour investigation. Je pense qu’il n’y a pas lieu à trop s’alarmer… ».
En clair, Ramatoulaye Camara devrait présenter ses excuses au Journaliste Ibrahima Sory Camara comme l’a fait la police ou lui dédommager pour les dégâts commis. Au contraire, ces péchés seront impardonnables qu’ici qu’à l’au delà.
Ces accusations à tort et abus de pouvoir sur des journalistes par certains cadres comme Ramatoulaye Camara viennent saboter des innombrables luttes nommées par le Prof Alpha Condé, Président de la République pour la consolidation de la démocratie en Guinée.
Source leprojecteurguinee.com