Tribune : Diallo Sadakadji, l’Ombre d’un progressiste dévoilé

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    Au lendemain de la prise du pouvoir en 1984 par le CMRN avec à sa tête le colonel Lansana Conté marque l’ouverture de la Guinée au monde extérieur, plusieurs fils et filles du pays sont de retour au bercail. Diallo Sadakadji est de ceux-là ; parmi tant d’autres opérateurs économiques à savoir Balde Zaïre, Diallo Cravate, super Bobo, Mamadou Dalaba etc …..

    L’homme s’était fixé un objectif majeur celui de participer au développement de son pays. Laissant derrière des privilèges et opportunités, il décide de rentrer et se mettre à la disposition de son pays tout comme un soldat au service de son pays, Homme de relations ayant un carnet d’adresses très riche.

    Ce nationaliste et patriote convaincu n’est plus à présenter en Guinée. Il répond présent à toutes les sollicitudes à caractère social parfois même quand il n’est pas sollicité de manière spontané. L’on se souviendra qu’il a facilité et a été celui par qui de nombreux chefs d’Etats ont assisté la Guinée pendant les crises dans la discrétion.

    A Dakar, nos compatriotes témoigneront de sa largesse et l’accueil qu’il réserve à tout guinéen quelque soit son rang sans aucune discrimination. Bien que sa raison trône dans le jugement qui l’oppose à l’Etat concernant le domaine de Kaporo, il est toujours resté muet sans aucune diffamation ou poursuite à l’endroit de tous ceux-là impliqué dans la vente pour l’honneur et le respect de sa nation.

    Ce nationaliste convaincu croit en la justice de son pays et se dit optimiste et confiant de son rétablissement. Malgré ces déboires et dénigrement à son encontre, il envisage de créer un projet d’intérêt communautaire pour son pays.

    Selon les indiscrétions, il mettra à la disposition de la population de kaporo des infrastructures de qualité à savoir : un mini terrain de football, un centre médical, un centre d’autonomisation de la femme, des magasins et un centre de rééducation et d’insertion pour les jeunes; une promesse qu’il a prise.

    Selon un habitant de Kaporo qui garde l’anonymat « kaporo n’a pas de problème avec Sadakadji, il est considéré comme un père pour d’autres et fils pour certains, on le préfère qu’à d’autre.

    Au début une incompréhension régnait, mais la jeunesse, les femmes, les sages croient en l’homme » Sadakadji n’en démord pas ; il se dit être à la disposition de la justice de son pays et fait confiance aux nouvelles autorités qui ont à cœur la Refondation de l’Etat.

    Aux dires d’un voisin, il est discret et avare en parole, refuse de se prononcer sur ce sujet dans les médias ou entre amis. En homme serein, il croit en Dieu et se soumet à la volonté divine et des autorités. Pour lui, sa première victoire c’est cet amour que la population de kaporo a pour sa personne.

    Comme on le constate, l’Etat à lui seul ne peut pas tout faire, il doit être épaulé par ces fils capables de relever le défi. Dans d’autres pays de la sous-région, ce genre de partenariat est encourageant.

    L’illustration parfaite c’est le cas de la gestion du stade Général Lansana conté de Nongo avec le groupe GBM de l’Homme d’affaires Antonio Souaré ou autre exemple qui fait la fierté de l’intégration sous régionale, le cas de l’homme d’affaires, homme politique ivoirien Adama bictogo qui s’est fait octroyer le marché des documents de voyage.

    Le courage et le sens du service demeurent des qualités qu’ils conservent; livré à une bataille judiciaire il en est sorti vainqueur des mesquineries malsaines dans le seul but de ternir son image.

    Camara

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